11 – Phytosociologie et écologie des forêts de Haute-Normandie


26 € TTC

Par J. BARDAT, 376 pages, 1993

Le but de ce travail a été essentiellement orienté vers la caractérisation sociologique des forêts de Haute-Normandie. Une première approche, localisée sur le massif forestier de Brotonne (Seine-Maritime) – (BARDAT et FRILEUX. 1980) -, malgré ses imperfections m’a permis de tenter de mieux comprendre l’espace forestier à la fois dans le cadre d’une démarche conceptuelle phytosociologique et aussi dans celui de la causalité anthropique des groupements sylvatiques de cette région de plaine. L’axe de mes recherches ne vise pas à révolutionnerla théorie phytosociologique ni sa rhétorique. Toutefois, dans la vague naissante des nouvelles orientations de la recherche phytosociologique. j’aurais tendance à situer mon approche sous l’angle de la coenologie plutôt que celui des synusies, considérant que les relations entre les diverses catégories structurales (les strates végétales) existent, pourvues d’énergie de liaison plus ou moins forte. Mon approche, bien que conventionnelle et teintée d’orthodoxie, fait apparaître une démarche où j’ai tenté de prendre en compte l’aspect synusial (au sens de GAMS) des phytocoenoses forestières, notamment dans l’intégration et l’interprétation des groupements bryophytiques sapro-lignicoles et humo-épilithiques. En raison de la simplicité relative des forêts de Haute Normandie, c’est-à-dire leur faible hétérogénéité biotique stationnelle, il a paru nécessaire de prendre en compte un certain nombre d’éléments floristiques et sociologiques considérés encore trop souvent comme secondaires (communautés bryophytiques par exemple). Ce but fixé. l’analyse a été réalisée selon le système classique phytosociologique, évitant ainsi la lourdeur d’une approche exhaustive dans le domaine synusial, qui aurait interdit toute investigation sur l’ensemble de la région. Cette façon de voir et de présenter mes résultats peut constituer un biais pratique aux divergences d’appréhension de la végétation d’une formation complexe telle que peut l’être l’espace forestier. La Haute Normandie ne constitue pas une entité biogéographique homogène, et c’est sans doute en partie à cause de cela que peu de travaux ont été produits sur les forêts de cette région. La finesse des variations écologiques n’est pas par essence même favorable au déterminisme de groupements végétaux bien distincts. Cette région, au carrefour de diverses influences bio-climatiques, m’a paru être un champ expérimental intéressant pour tester certaines discontinuités plus ou moins déjà mises en évidence par les botanistes locaux comme FRILEUX de BLANGERMONT ou LIGER. Ce travail essaie de combler une lacune dans la connaissance des forêts de l’Ouest français et tente de montrer leur originalité sociologique et floristique. Les relations synchorologiques seront abordées avec les forêts de l’Ouest européen, donnant l’occasion d’exprimer un point de vue sur la synsystématique des forêts de la France planitiaire et collinéenne. On pourra regretter l’exiguïté territoriale relative de l’étude, qui freine implicitement les essais de généralisation et de caractérisation de nouvelles associations qui seraient rendus plus valides à une échelle nettement plus vaste. Toutefois des impératifs de temps. de disponibilité mais aussi d’objectivité m’ont conduit à me cantonner à la Haute-Normandie. avec quelques incursions dans les territoires voisins. Mais le degré de résolution est tel qu’il permet de comprendre les mécanismes de passage d’une communauté à une autre, ce qu’il n’aurait pas été possible de mettre en évidence si cette recherche avait été menée sur une aire beaucoup plus importante Ge quart nord-ouest de la France par exemple). D’autre part plusieurs régions voisines ont fait déjà l’objet d’études plus ou moins approfondies, permettant dans une certaine mesure d’assurer la continuité dans l’interprétation chorologique et phytosociologique des groupements forestiers de l’Ouest français. Enfin, les résultats obtenus ont été élaborés sur la base de 1 500 relevés d’individus d’associations forestières et plus de 900 relevés de groupements bryophytiques conditionnés, représentant un échantillonnage suffisant pour une analyse et une synthèse des forêts de Haute-Normandie.

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10 – Les Festuca de la flore de France

Les Festuca de la flore de France

Epuisé

Par M. KERGUELEN et F. PLONKA, 368 pages, 1989

L’identification des espèces de Festuca, du moins à l’intérieur de certains groupes (Fétuques à feuilles fines,.des séries de F. ovina L. et F. rubra L.) décourage beaucoup de botanistes. La variabilité est telle pour certains caractères qu’il semble quelquefois difficile d’établir des clefs avec des coupures nettes pour des données quantitatives. Des caractères qualitatifs, parfois mis en avant, ont souvent peu de valeur systématique: ainsi la pruinosité des limbes est un caractère constant chez plusieurs espèces; de nombreux taxons présentent toujours des limbes sans pruine; pour d’autres, il existe des mélanges d’individus pruineux ou non, à commencer par le véritable « F. glauca li et ce n’est là qu’un exemple! Il en est de même pour le caractère plus ou moins scabre, ou « glabre ou velu li de divers organes! Aucun auteur récent ne donne de clef très satisfaisante, pas plus MARKGRAF-DANNENBERG (1980) que l’un d’entre nous (KERGUÉLEN in JOVET & VILMORIN, 1979) … Des cllifs antérieures sont fort sommaires, par exemple BIDAULT (1972 : 120-121), M. BIDAULT & A HUON in GUINOCHET & VILMORIN (1978 : 926-937). Mais, selon l’adage, « la critique est aisée, mais l’art est difficile !! D’autres critères sont plus fiables, mais leur observation n’est pas facile, du moins sur le terrain : anatomie des sections foliaires, par exemple. Les difficultés d’identification sont évidemment variables selon les groupes de fétuques et sans doute au maximum chez les Festuca rubra s. lat. – voir par ex. DUBE & MORISSET (1987) pour des Festuca du Québec (Canada), STACE (1980) pour les Festuca des Iles Britanniques… mais les F. rubra de la flore française posent autant de problèmes! Cependant les récoltes se sont multipliées considérablement durant ces dernières décennies, avec des précisions sur les localités exactes, les données écologiques, biologiques et autres, comme les nombres chromosomiques. Nous avons pu corriger quelques indications de « Flora Europaea li – MARKGRAF-DANNENBERG (1980) – qui résultaient de l’observation probable d’un matériel peu abondant, ou même sans doute des diagnoses fournies par le descripteur sur la foi de l’observation d’~n échantillon unique. Il a été également nécessaire de corriger – KERGUÉLEN & PLONKA (1988a) quelques données de l’un d’entre nous (M.K. 1975b) en éliminant quelques taxons qui avaient été retenus « au bénéfice de l’inventaire li (et retenus par MARKGRAFDANNENBERG, 1980), mais qui se sont révélés douteux et probablement inexistants: par ex. F. indigesta subsp. molinieri, subsp. alleizettei et F. ochroleuca subsp. gracilior 1Nous avons de même supprimé ici de la flore française F. nevadensis et F. pseudotrichophylla. Ce travail essaye donc de pallier le manque relatif d’informations des flores usuelles et le manque d’illustrations de flores plus récentes, mais il voudrait se situer sur unsouvent les flores usuelles utilisent des noms comme « F. glauca «, « F. avma « ou « F. dUriuscula « dans des sens parfaitement incorrects, recouvrant de nombreux taxons bien différents ! N’oublions pas cependant que notre flore « festucéenne Il n’est sans doute ?as entièrement recensée, que plusieurs espèces Il critiques Il restent encore mystérieuses, faute de récoltes récentes et d’études des plantes vivantes. Sans nul doute il reste encore des nouveautés à décrire (que ce soit chez les fétuques ou d’autres groupes) ! L’un d’entre nous (M.K., 1987) a pu estimer à plus d’une centaine les espèces spontanées oubliées pour la flore de France dans la récente Il Flora Europaea Il ! Que dire de taxons du genre Festuca qui n’inspirent guère les botanistes !! En tout cas, il s’agit d’un groupe important de plantes qui, en général, ne sont pas rares ou en voie de disparition, qui font partie du paysage végétal et qui pourtant sont certainement «sous-collectées» !

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9 – La végétation de la Basse-Auvergne


25 € TTC

Par F. BILLY, 416 pages, 1988

La flore de l’Auvergne a été connue de bonne heure. LINNÉ avait à peine publié ses premiers ouvrages que l’abbé DELARBRE se mettait en campagne et il ne s’est guère écoulé de génération qui ne comptât un botaniste de terrain réputé, avec, pour couronnement, l’Inventaire du Dr CHASSAGNE qui a rédigé en 1954 une magistrale synthèse des connaissances acquises à la fin de sa longue carrière. Si, bien sûr, ces auteurs se sont peu préoccupés de l’étude des groupements végétaux, ils ont du moins réuni une documentation précieuse pour l’histoire de la végétation au cours des deux derniers siècles. Cependant, dès la moitié du XIXe siècle, dans sa monumentale Géographie botanique, LECOQ a présenté les premières esquisses de la distribution des espèces et des principaux « paysages végétaux», et c’est en 1926 que le père de la phytosociologie moderne, J. BRAUN-BLANQUET, a publié ses premiers relevés effectués en Artense et dans les Monts Dore. La même année, LUQUET composait une première synthèse phytogéographique du massif des Monts Dore, suivie en 1937 d’une étude des pelouses xérothermiques de la Limagne. Depuis, et jusqu’à ces tous derniers temps, si les Monts Dore ont continué de faire l’objet d’études plus détaillées (CUSSET et LACHAPELLE, BOCK et PRELLI, JULVE), bien peu nombreux ont été les travaux consacrés au surplus de l’Auvergne et toujours limités à un cadre assez restreint, tels ceux de l’EMEE. Maintenant, ces études ont tendance à se multiplier, grâce tout spécialement aux diplômes et thèses universitaires dirigés par le professeur LOISEAU, tandis que DIETER KORNECK venait d’outre-Rhin analyser certaines pelouses pionnières des basaltes et des granites, mais il subsiste encore un grand nombre de formations végétales et plusieurs secteurs géographiques parmi les plus vastes qui sont demeurés totalement négligés. Combler d’un seul coup de telles lacunes excède de toute évidence les forces d’un individu isolé, surtout s’il s’agit d’un amateur astreint à d’autres obligations professionnelles, mais ayant visité presque toutes les communes de la Basse Auvergne, non sans y avoir effectué quelques milliers de relevés depuis plus de trente ans, j’ai été tenté de présenter une synthèse des observations de mes prédécesseurs et des miennes propres de façon à esquisser du moins une image à peu près fidèle de l’ensemble des groupements que l’on peut rencontrer dans la province. Sans aucun doute, la méthode dite zuricho-montpelliéraine avec ses tableaux détaillés permet seule de définir scientifiquement des associations végétales de nature a être utilisées par les phytosociologues mais il me semble que cette définition suppose une connaissance approfondie non seulement des peuplements considérés mais aussi bien des formations immédiatement voisines sur le terrain comme de celles qui croissent sur des biotopes semblables dans des secteurs plus ou moins éloignés, et encore, une fois cette connaissance acquise, à quel niveau de différence faut-il s’arrêter pour tracer le cadre d’une association déterminée ?

Renonçant à proposer des définitions dont la rigueur dissimulerait une trop grande part d’arbitraire, j’ai du moins pensé pouvoir présenter des « groupements» suffisamment individualisés sur le terrain par la dominance d’un ensemble d’espèces déterminées et parfois par la présence de telle ou telle rareté, en demeurant dans le cadre des « alliances» reconnues par les phytosociologues et dont la substance n’est généralement pas sujette à des controverses majeures. Peut-être est-ce présomption de ma part, mais il m’a semblé qu’une telle présentation pouvait être de nature à faciliter la tâche des chercheurs de l’avenir en mettant à leur disposition des cadres qui les aideront à situer l’objet de leurs études et qu’il leur appartiendra de remplir. Pour la description des « groupements» que j’ai été amené à distinguer, il m’a semblé raisonnable de renoncer à la reproduction de tableaux détaillés. De trop longues énumérations lassent vi~e l’attention du lecteur; la présence d’individus isolés d’une espèce donnée dans un nombre limité de relevés ne présente qu’un faible intérêt lorsqu’il s’agit seulement de donner une image d’ensemble d’un groupement par rapport à celle des formations affines. Il m’a paru en revanche important d’insister sur les taux de recouvrement moyens; les espèces sociales constituent le premier facteur qui attire l’attention de l’observateur. Un type de lande est mieux caractérisé par les proportions dans lesquelles les espèces dominantes se mélangent que par la présence exceptionnelle d’un Lycopode ou d’une Antennaria, quand il faut parcourir des kilomètres dans cette lande sans être assuré de les rencontrer. Cela conduit à accorder une importance excessive aux espèces les plus banales mais ne sont ce pas celles-ci qui donnent à chaque paysage sa physionomie ? Les touffes de Coronilla varia et les hampes de Peucedanum alsaticum dans une prairie de Brachypodes suffisent à individualiser un groupement de lisière propre aux coteaux soumis au climat limagnais.

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8 – Index synonymique de la flore des régions occidentales de la France

Index synonymique de la flore des régions occidentales de la France

Epuisé

Par P. DUPONT, 246 pages, 1986

Le but premier de ce travail est de rendre service à tous ceux, botanistes amateurs ou professionnels, qui se trouvent déroutés par les changements successifs de nomenclature. Ce n’est en aucune manière un ouvrage taxonomique. Il tente seulement de donner la correspondance entre les appellations des différentes Flores, souligne diverses incertitudes et fournit un certain nombre de commentaires. Comme bien des botanistes, je n’ai jamais eu d’attirance pour la taxonomie en tant que telle, mais je sais qu’il est fondamental de bien nommer les plantes que l’on étudie. Dès ma thèse sur la flore atlantique européenne, consultant Flores et publications de nombreux pays, j’ai pu saisir l’ampleur des problèmes de synonymie. Puis, participant à la révision des manuscrits de Flora Europaea, co-auteur de la Flore du Massif armoricain, chargé de la contribution française à l’Atlas Florae Europaeae, j’ai appris à « jongler » avec certains synonymes. J’ai donc pensé que mon expérience pouvait être utile à d’autres. Hélas ! Je me suis aperçu en route que cette expérience restait très insuffisante dans de nombreux cas ; de nouveaux noms paraissent toujours ; tout le monde n’emploie pas les anciens dans le même sens et beaucoup plus de problèmes que je ne pensais se sont finalement présentés. Je ne prétends pas les avoir toujours correctement résolus et je serai très reconnaissant à ceux qui voudront bien me signaler les imperfections de ce travail.

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7 – Likenoj de Okcidenta Europo. Ilustrita determinlibro


50 € TTC

Par G. LAUZADE & C. ROUX, 894 pages, 1985

Une dizaine d’années seulement après sa publication, le “Clauzenda” (Les Lichens: Etude biologique et flore illustrée, par OZENDA et CLAUZADE, Paris, 1970) avait considérablement vieilli, d’autant plus que lors de sa parution il était déjà insuffisant à certains égards. Rédigé par des botanistes connaissant surtout la flore des Alpes occidentales et de la Région méditerranéenne, il comporte en effet de nombreuses lacunes en ce qui concerne la France occidentale. Ainsi, beaucoup de lichens fréquents au Portugal, en Galice, au Pays-Basque, en Irlande et en Grande-Bretagne sont passés sous silence bien qu’existant également en Bretagne et dans les Pyrénées atlantiques. Par ailleurs, c’est avant tout un ouvrage de compilation comportant un assez grand nombre d’inexactitudes. Malgré la richesse des illustrations, on peut également reprocher à ce livre son prix excessif et l’insuffisance des dessins. Enfin, durant ces dix dernières années, la systématique des lichens a beaucoup progressé, ce qui s’est traduit par de nombreux changements nomenclaturaux. Il s’avérait donc indispensable de rédiger une nouvelle flore des lichens de France plus complète et plus exacte, ce que nous avons entrepris dès 1980. Cependant, comme il existe certainement en France de nombreux lichens européens qui n’y ont pas encore été signalés, nous avons décidé de modifier le projet initial et de prendre en considération toutes les espèces connues jusqu’ici en Europe occidentale Açores non comprises, à cause de leur flore à affinités subtropicales bien différente de la flore française), depuis le N de l’Ecosse et le centre de la Scandinavie jusqu’au S de la Péninsule ibérique, à la Sicile et à la Yougoslavie, et du NW de l’Irlande jusqu’à la Moravie et l’Autriche, en débordant parfois les limites de cet ensemble. Ce livre étant uniquement un ouvrage de détermination, dans sa partie générale sont traitées exclusivement les notions indispensables à la détermination des espèces. Aux photographies si abondantes dans le “Clauzenda”, ont été préférés les dessins et les schémas, souvent plus utiles pour l’identification et en tout cas moins onéreux pour l’édition. De plus, si cette nouvelle flore constitue bien sûr, elle aussi, essentiellement un travail de compilation, nous avons tout de même examiné les types de nombreux taxons jusqu’ici mal connus. Enfin, nous avons choisi de rédiger cet ouvrage dans la Langue Internationale, proposée par le Dr. Zamenhof en 1887 et plus connue sous le nom d’Espéranto, parce qu’il est à notre avis indispensable, à l’heure actuelle, que les scientifiques, sinon tous les hommes, adoptent une langue internationale (sans bien entendu abandonner leur langue maternelle qui fait partie de leur culture). Or, aucune des langues nationales, même parmi les plus utilisées dans le monde (anglo-américain, allemand, espagnol, français, russe) ne peut prétendre à devenir une langue internationale à cause d’un manque de logique et de précision, d’expressions idiomatiques, d’ambiguïtés et de difficultés tant grammaticales que de prononciation. Seule la Langue Internationale convient admirablement grâce à sa simplicité grammaticale – aucune règle ne présentant d’exception-, à la facilité de sa prononciation, à sa parenté sémantique avec les langues latines et germaniques – les plus connues des scientifiques du monde entier – et structurale avec de nombreuses langues non indo-européennes, à sa logique, sa précision et sa concision, les nuances les plus subtiles pouvant s’exprimer sans ambiguïté avec le minimum de mots. Comme les clés de détermination sont construites sur une structure grammaticale simple et un vocabulaire scientifique d’acquisition rapide, l’utilisation de cette flore ne saurait présenter de difficulté majeure ni requérir un effort important de la part d’un non-Espérantiste.

Note : Généralités sur les lichens et leur détermination, traduction par L. VAILLE de la 1ère partie (pages 9 à 69) du Likenoj (dessins non reproduits) (extrait du bulletin S.B.C.O., nouvelle série, tome 18, 1987, pages 147 à 176) suivi de Likenoj de okcidenta Europo, Suplemento 2a, rédigé en Esperanto par G. CLAUZADE et C. ROUX (extrait du même bulletin S.B.C.O., pages 177 à 214) Ces deux textes brochés ensemble en un seul fascicule sont désormais épuisés mais téléchargeables :

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